Une vengeance, deux blessures...[PV Sephy]

Je vis alors une chose se rapprocher. Une chose ayant l'odeur du sable de Sephirot mais qui ne ressemblait en rien a ses créations habituelles.
Elle était plus petite et plus menue. Elle s'adressa à moi d'un voix douce qui me glaça.
Je connaissais cette voix...Mais où l'avais-je entendue ?

-malyris ma cherie me reconnait tu ?? c'est moi ta mere tu nous a tellement manqué a moi et a ton pere veut tu ... nous rejoindre dit moi ??

Je me raidit en entendant cela. Mes parents ? Mais pourtant ce n'est que du sable, leur odeur le prouve.

-Ma mère...

L'idée me provoqua aussitôt un fou-rire incontrolable. C'était absurde !

-J'ignorais que le sable pouvait enfanter quelque chose de vivant. Les mystères de la vie sans doute.

Je continua de rire un peu avant de me stopper net.
Il y avait quelque chose d'anormal dans l'air...Une odeur connue...
Sephy était emprissoné, il ne pouvait nullement controler ces clones dans ces conditions...Mais alors...qui était le marrionnetiste ?
Il n'aurait pas abdiqué si facilement quand même ?

-Je...ne sais pas qui vous êtes...Je...ne vous vois pas...

Je ne prêtai aucune attention a ce qui se passais, je me rendis un peu plus loin, et la, le commandant s’avança auprès de moi, il semblait très perplexe sur ce qui s’était passé, normal vu que je venais a lui, avec mes habits qui venait d’endurcir un combat, mais heureusement aucune trace de blessures.

Je lui expliquai rapidement la situation, et un groupe de dix soldats allaient m’accompagner. Quand a lui, il avait isolé la zone comme prévu, chaque coin étant bien surveillé ou des gardes étaient prêt a agir, tenant des embuscades un peu partout afin de pouvoir éviter des personnes de s’échapper sans mal.

Avec mon escorte, je retournai voir ou ils en étaient, Séphiroth était toujours bien emprisonné dans la prison de verre, mais quelque chose d’anormal se passait. Un clone de sable, ayant une forme inconnue et une voix féminine se dressait la, mais il ne fallait pas être dupe, ce n’était que du sable et une simple ruse de ce lache. Je tendis la main et un des soldats me donna un arc et des flèches qu’l avait pris en réserve. Je plaçai trois flèches dans l’arc, et souffla dessus l’envoutant de vent soufflant. Je les décocha sur la forme bizarre, le vent autour entra dans cette forme et commença à dissiper tout ces grains.

"Ne vous laisser pas avoir par ce stratagème Malyris."

le sable détruit se reconstitua aussi tôt ce clone ne preta pas attention au roi et dit de nouveau

-malyris rappel toi ses moi ma voix ne te dit donc rien ??

Mon corps quand a lui se libera de sa prisons et se redressa j'etait toujours inerte et sa se voyais mes bras pendait ainsi que ma tete je m'aprocha d'eux et je dite alors mais avec une autre voix

et moi te rappel tu de moi ?? rappel toi bien je suis celui qui les tua tout les deux

d'un geste de la main mon corps detruisa la statue de sable

la derniere fois que je t'ai vu tu n'etais encors qu'un enfants mais je croyai t'avoir tué comment a tu fait pour vivre

L'odeur qui émanait de Sephiroth était suffocante.
Mais son odeur propré était présente en quantité infime. Celle qui dominait était celle du parasite.

-Tu...les as tués ? Tu...as voulu me...tuer ? Mais pourquoi ?

Des voix tournaient dans ma tête...Des hurlements, des voix agréables, des supplications...
Les larmes coulèrent sur mes joues sans mon autorisation.
Quelle était donc la raison de ce massacre ?

-Je ne comprend rien !

Je mit mes mains sur mes yeux pour cacher mes larmes, ayant trop honte de pleurer dans une telle situation, et me laissa tomber à genoux sur le sol.

Je continuais de regarder tout cela d’un œil très critique en restant hors de porté au cas où cela se passerai mal, mais je voyais que le Sephiroth qui se tenait devant nous n’était plus le même, sa cible également. Je savais alors ce qui me restait à faire pour que Malyris ne soit pas dupé par cela, mais j’allais m’affaiblir énormément. J’allai alors a ses côtés, mes ailes déployés prêtes a s’envolé avec.

"Faite moi confiance pour une fois."

Je lui donnai un coup rapide et puissant dans le cou, ce qui lui fit perdre connaissance. Je la portai alors et m’envola, d’un signe les soldats qui m’avaient accompagnés se mirent en position pour retenir un maximum de temps cet être. Je me posai sur un toit et la déposa dessus. Je pris alors mon épée et j’ouvris la manche droite de ma tenue, une fois cela ouvert, je m’entaillai le bras tout le long et fit couler le sang dans ses yeux. Heureusement elle n’était pas consciente pour voir ou ressentir ca.

Une grande quantité de sang coula dessus, je me senti alors faiblir fortement, mes forces m’abandonnais petit à petit pour tomber sur le toit, sans pouvoir bouger beaucoup. Je ne pouvais espérer qu’une chose, c’était que Malyris puisse m’aider quand elle reprendra connaissance, ce qui ne devrait plus tarder.

Mon corps sans vie s'intimait toujours quand il vis la jeune fille partir il dit alors

-toi celui qui se prêtent roi rend moi cette fille que je la déchire

un tourbillons de sable s'enroula autour de moi et j'etait devenu invisible dans se sable tout les soldat s'envola et des éclaboussure de sang se fis un peut partout une fois le tourbillions dissipé je n'était plus dedans et je me retrouva un pied sur le corps inanimé du roi et une dague sous le cou de la fille mes yeux etait vide sans vie

-Sa te dit de ... rejoindre tes parent ??

Une brûlure, voila tout ce que je sentis durant un moment.
Elle se répendait dans mes globes occulaires, me donnant l'impression que ces derniers fondait avant de se reconstituer, recomposant les cellules détruites par Sephirot.
Quand enfin la brûlure cessa, j'ouvrit les yeux pour me retrouver face à ceux à l'apparence morte de Sephy.
L'odeur du parasite était suffocante, à tel point que je ne doutais pas de "l'absence mentale" du propriétaire du corps.

-Sa te dit de ... rejoindre tes parent ??

Les effluves venant de lui ne parvenait cependant pas à cacher les autres, venant de partout ailleur: du roi inerte à mes côté, des soldats et du sangs répandu partout autours du bâtiment.
Cela me fit remarquer que mon odorat était resté au niveau qu'il avait atteint lors de ma période de cécité.
Je sentit le pommeau de mon sabre sous ma main et l'attrappa.

-Ca...Ne me dit pas du tout !

Je le repoussais d'un coup de pied avant de sortir mon sabre pour lui décocher un coup et le faire tomber du toit.
Sans vraiment savoir comment, je savais ce qu'il fallait faire.
Je jetta mon sabre sur le côté, ôta mes gants et enfilla les griffes en fer qui aiderait à la diffusion de mon poison.
Je sauta du toit, main en avant et réussi à le toucher à l'épaule avant de me repousser plus loin et de me mettre en position de défense.

-Mais toi, je suis sûre qu'ils seront ravi de te voir !

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